CREPIM

 

crepim

material & fire test expert

Votre partenaire pour garantir la sécurité de vos matériaux et systèmes

Situé au coeur de l'Europe, le CREPIM développe, teste, et certifie des formulations résistantes au feu pour les entreprises travaillant dans les secteurs de transport de masse (ferroviaire, aviation et naval), du bâtiment, de l'électricité et du textile.

Le CREPIM assure également le maintien des connaissances relatives à la sécurité incendie et les matériaux.

Afin de mieux répondre aux besoins conjoints de développement et d’essais, l’activité du CREPIM est organisée suivant 3 pôles : le Pôle Essais, le Pôle Développement et le Pôle Formation.

 

 

 

Expert reconnu en sécurité incendie, le CREPIM garantit et valide les performances de réaction et de résistance au feu  des Matériaux et Assemblages

Le CREPIM - Material & Fire Test Expert -  vous facilite l'accès au marché

Cette liste est non exhaustive, n’hésitez pas à nous contacter pour toute demande particulière !

  • Consultations dédiées aux études des exigences et adaptation des normes pour la spécification des produits
  • Formations adaptées au client disponible sur le site
  • Recherche de fournisseurs alternatifs pour les matières premières
  • Test et Certification des matériaux et des matériels et assemblages

Material & Fire Test Expert : une organisation centrée sur la flexibilité, la réactivité et la connaissance technique

  • Devis réalisé en 24 heures
  • 70% des résultats sont remis en moins de 3 semaines
  • Un point de contact technique vous est dédié et vous accompagne durant l’ensemble du projet

Notre actualité

 No alternative text description for this image

 

SAVE THE DATE : CREPIM : JOURNEE TECHNIQUE FEU & FERROVIAIRE- 5ème Edition le 8 JUIN 2023

La sécurité incendie est plus que jamais un enjeu crucial pour le transport de masse. L’autonomisation de train, l’intégration d’accumulateurs, la propulsion hydrogène…représentent beaucoup d’évolutions technologiques, dont le risque incendie doit être appréhendé.

Les sujets relatifs à la sécurité ne sont jamais simples car ils se situent à la croisée des réglementations, des essais normatifs et des pratiques de l’état de l’art.

Afin de vous aider à avoir une vision plus sereine de la situation, le CREPIM a mis en place un format pédagogique mêlant théorie et pratique, pour vous permettre de mieux comprendre l’articulation des différents aspects sécuritaire dans le ferroviaire

Dans ce contexte, Le CREPIM renoue avec ses habitudes d’avant covid et vous invite à la prochaine journée technique organisée le jeudi 8 juin 2023 qui se déroulera à Bruay-La-Buissière, et sera dédiée à la sécurité incendie ferroviaire et à l’EN 45545.

Notre programme est en cours de finalisation et inclut :

  • Le retour d’expérience d’Alstom sur son approche sécuritaire,
  • Un retour complet sur les évolutions des référentiels EN 45545-1 et -2 (EN 45545-2 :2016 vs 2020),
  • Un retour complet sur l’EN 45545-3 avec la société Odice et la mise en œuvre des produits de calfeutrement correspondants,
  • Cette liste est en cours de finalisation avec la participation de la société Duflot et Nord-Composites, dont nous attendons les dernières confirmations.

Nous pensons que les  sujets abordés lors des journées techniques vous permettront d’explorer de façon plus détaillée les approches feu-ferroviaires, mais surtout d’interroger des experts par rapport à des application concrètes.

Ne manquez pas cette opportunité unique qui vous donnera accès à un réseau de professionnels, et vous trouverez en pièces jointe le formulaire d’inscription à nous retourner complété. Notez que les places sont limitées, nous vous invitons donc à effectuer rapidement votre réservation pour ne pas rater cet évènement !

*Au plaisir de vous retrouver prochainement.

 

Le pôle formation du CREPIM

 

Contact: veronique.poulain@crepim.fr

Tel : 00 33 3 21 61 64 00

 

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

CREPIM: SAVE THE DATE: TECHNICAL CONFERENCE dedicated to FIRE SAFETY IN RAILWAY - JUNE 8th, 2023- 5th Edition.

Fire safety is more than ever a crucial issue for mass transport. The automation of trains, the integration of accumulators, hydrogen propulsion, etc. represent many technological challenges, for which the fire risk must be integrated at the early steps of the projects.

Safety topics are never simple because they are at the crossroads of regulations, normative standards, and state-of-the-art practices.

To help you to have a more serene vision of the situation, CREPIM has set up an educational format combining theory and practice, to better understand the articulation of the various safety aspects in the railway.

In this context, CREPIM is coming back to its pre-covid habits and invites you to the next technical day organized on Thursday June 8, 2023, which will take place in Bruay-La-Buissière and will be dedicated to railway fire safety and EN 45545 series.

Our program is being finalized and includes:

  • Feedback from Alstom on its safety approach,
  • Complete feedback on the evolutions of the EN 45545-1 and -2 standards (EN 45545-2: 2016 vs 2020),
  • Complete feedback on EN 45545-3 with the company Odice and the implementation of the corresponding caulking products,
  • This list is being finalized with the participation of the company Duflot and Nord-Composites, of which we are awaiting the latest confirmations.

We believe that the topics covered during the technical days will allow you to explore fire-rail approaches in more details, but above all to question experts in relation to concrete applications.

Do not miss this unique opportunity which will give you access to a network of professionals, and you will find attached the registration form to return to us completed. Note that places are limited, so we invite you to make your reservation quickly so as not to miss this event!

Looking forward to meeting you soon.

The CREPIM training center

Please note that the lectures will be turned over in French language.

 

Contact: veronique.poulain@crepim.fr

Tel : 00 33 3 21 61 64 00

 

 

  • CREPIM INNOTRANS 2022

CREPIM, with Franck Poutch, will be part on Innotrans22. Feel free to visit us in Hall 3.2, Booth 400C2 to discover our latest outputs connected to our 3 poles of excellence:

  • Development pole: for optimizing of Fire & smoke properties using FR chemistry,
  • Testing pole: market access by Fire test with more than 60 flammability test methods under accreditation, with a focus on EN 45545-2 & EN 45545-3,
  • Training pole: to accelerate the market access with more comprehensive approach of the Fire standards and associated regulation.

What sets CREPIM apart:

  • We are chemists because the nature of the material is related to its reaction to fire,
  • Interpretation of results in terms of chemical degradation,
  • Analysis of the results, action plan proposal, mitigation risk assessment,
  • Expertise in the implementation and characterization of materials,
  • Networks FR suppliers and privileged links with PINFA and outsourcers,
  • A complete monitoring of our activities: Smoke treatment via a smoke washer & Depollution of extinguishment water.

Les Tutoriels du CREPIM 

Le CREPIM vous propose différents tutoriels afin de vous aider dans votre réflexion au regard de la sécurité incendie. Nous vous proposons de nous retrouver régulièrement autour d'une reflexion, porté par une brève, via notre blog 

 

Nouveaux agents ignifuges anti feu

CREPIM Tuto 2 -Les différentes étapes de la combustion- point du vue matériau

Dans le processus de combustion d’un polymère, on distingue 4 étapes qui sont respectivement, l’échauffement, la décomposition, l’inflammation et la propagation

1ère  étape : L’échauffement

L’application d’une source d’énergie à un matériau, va avoir comme première conséquence d’augmenter sa température.

Cette évolution de température du matériau, sera plus ou moins rapide selon l’intensité de la source de chaleur et les propriétés du matériau, en particulier sa conductivité thermique et sa chaleur spécifique.

2ème étape : La dégradation.

Lorsque la température d’un polymère dépasse une température critique, qui sera d’autant plus importante que l’enthalpie de polymérisation est élevée, les liaisons les plus fragiles thermiquement vont se briser.

La dégradation d'un polymère peut se faire différentes manières. Cependant, il est généralement admis que ces réactions peuvent être regroupées en deux classes:

    les réactions de dépolymérisation caractérisées par la scission de la chaîne du polymère conduisant à la libération du monomère lui ayant donné naissance. Ce type de réaction se rencontre notamment dans le cas du polyméthacrylate de méthyle.

  • les réaction des groupements pendants à la chaîne polymérique pouvant être multiples. Par exemple, dans le cas du polychlorure de vinyl, il se produit une scission des groupements pendants conduisant à la libération d'acide chlorhydrique. Le polyacrylonitrile va, quant à lui, engendrer au cours de sa dégradation, une réaction de cyclisation.

 

La température de décomposition des polymères varient suivant leur nature. Le Tableau 1 rassemble les zones de dégradation de divers polymères synthétiques ou naturels.

Tableau 1 : Température de décomposition de divers polymères [1].

Polymère

Td (°C)

Polymère

Td (°C)

Polyéthylène

340 - 440

Polyméthacrylate de méthyle

180 - 280

Polypropylène

320 - 440

Polyacrylonitrile

250 - 300

Polystyrène

300 - 400

Polyamide 6

300 - 350

Polychlorure de vinyl

200 - 300

Polyamide 6,6

320 - 400

Polytétrafluorure d'éthylène

500 - 550

Cellulose

280 - 380

 

Il y aura donc formation via différentes réactions chimiques de molécules organiques de bas poids moléculaires facilement inflammables. La composition de ces molécules organiques va dépendre de la nature chimique du polymère et de la composition en oxygène du milieu. Il pourra s’agir de produits de pyrolyse et de produits de dégradation thermooxydante.

 3éme étape : L’inflammation.

Cette étape va dépendre de la nature des produits gazeux de décomposition qui peuvent être plus ou moins inflammables, elle va dépendre également de leur vitesse de formation. C’est lorsque cette vitesse de dégagement de produits volatils atteint une certaine valeur, suffisante pour que le mélange produits gazeux – air soit inflammable, que l’on a apparition de la flamme.

4éme étape : La propagation

Après inflammation, la combustion sera entretenue uniquement si la chaleur rétrocédée au polymère est suffisante pour permettre l'évaporation du fuel c’est-à-dire la formation de fragments à partir des chaînes de polymère qui vont pouvoir alimenter la flamme. Dans ces conditions le mécanisme de la combustion devient auto alimenté et la flamme va donc se propager, cPropagation de flamme - 4ème étape

 

Les Tutoriels du CREPIM

Le CREPIM vous propose différents tutoriels afin de vous aider dans votre réflexion au regard de la sécurité incendie.

Tuto 3 : les principaux modes d’action des ignifugeants : mode d’action en phase gaz

 

Suivant leur nature, les agents FR peuvent agir de façon chimique ou physique, dans la phase condensée ou dans la phase gaz. Le Tableau 3 et la figure 4 donnent un schéma simplifié des modes d'actions qui ont pu être inventoriés et des additifs pouvant agir suivant ces modes.

Mode d'action

Ignifugeants

Phase Condensée

 

1.       Dégradation endothermique de l'agent retardateur de flamme

2.       Dilution

3.       Formation d'un bouclier thermique limitant l'apport d'énergie par la flamme

Hydroxydes Métalliques

Substances inertes (talc, CaCO3…)

Systèmes intumescents

Phase Gaz

 

1.       Inhibition radicalaire

2.       Dilution provoquant l'abaissement de la température de la flamme

Dérivés halogénés, phosphorés, Sb2O3

Produits libérant CO2, H2O…

 

2.3.1. - Mode d'action en phase gaz.

Le mode d’action en phase gaz mettra essentiellement en œuvre des processus chimiques qui limiteront la cinétique des réactions radicalaires qui sont initiées et se propagent dans la flamme.

  • Le premier mode d’action en phase gaz consistera à inhiber les réactions radicalaires. Cette action peut être réalisée par des transferts radicalaires, mais également par recombinaison radicalaire. Les additifs halogénés agissent principalement par ce mode d'action.
  • Le second mode d’action en phase gaz consistera à intervenir par dilution au niveau de la flamme, l’objectif étant de baisser la température de la flamme, ce qui bien entendu, apportera moins de calories pour la combustion du matériaux.

 

Mode d'action par transfert radicalaire

Il est généralement admis que la combustion des polymères se fait suivant un mécanisme radicalaire qui en milieu oxydant conduit, en phase gaz, à la formation de radicaux libres en particulier H et OH qui sont les plus réactifs et à l’origine de la formation et de la propagation de la flamme.

Les acides halogénés, libérés par les ignifugeant, vont interrompre le cycle de combustion en remplaçant ces radicaux réactifs par des radicaux X moins énergétiques. L'ensemble des réactions intervenant dans ce processus est illustré ci-dessus :

  • Réaction entre l’agent ignifugeant RX et le polymère P-H conduisant à la formation d’un acide halogéné:

R–X + P–H ® HX + R–P

  • Transformation des radicaux H et le HO, qui sont des radicaux conducteurs de chaînes, en radicaux X moins réactifs:

HX + H® H2 +X

HX + OH® H2O + X

En dissipant l’énergie des radicaux HO par ce type de piégeage, le bilan thermique sera donc modifié ce qui réduira considérablement la vitesse de combustion. A noter que cette hypothèse de mécanisme a été vérifié à partir d’études cinétiques et spectroscopiques.

Les additifs utilisés, seront dans ce cas les dérivés halogénés et en particulier les bromés qui sont les plus efficaces. Dans cette hypothèse, les dérivés les plus efficaces seront donc les dérivés bromés organiques et en particulier ceux qui possèdent les plus faibles énergies de liaison carbone-brome.

En remarque il est intéressant de signaler que cette hypothèse de mécanisme n’est pas toujours vérifiée. Différents travaux montrent en effet que l’efficacité de certains ignifugeants halogénés n’est pas nécessairement liée à leur aptitude à libérer l’acide. Certains dérivés bromés, comme par exemple le décabromodiphényl oxyde qui est un composé largement utilisé industriellement, en particulier avec les polyéthyléniques, sont stables et ne libèrent pas l’acide correspondant. Ces additifs qui sont pourtant efficaces se subliment avant décomposition et interviennent donc finalement, directement dans le cadre du mécanisme en phase gaz.

 

Mode d'action par recombinaison radicalaire

Ce processus intervient lorsque l’on utilise les systèmes d’additifs associant le trioxyde d’antimoine et des dérivés halogénés. Ces deux additifs agissent en synergie [17-22]. Ils sont efficaces, et par là même, couramment utilisés. Tous les travaux sur les systèmes associant les composés halogénés et le trioxyde d’antimoine confirment que la synergie d’action est maximale lorsque le rapport atomique antimoine sur halogène est égal à 1/3. Ceci va dans les sens de la formation du tri halogénure. Pour confirmer ce résultat on a pu constater que, si le taux d’antimoine est excédentaire, il y a formation du composé Sb2O4 qui a un effet antagoniste.

          Sur le plan du mécanisme on admet que l’ignifugation par ces systèmes est assurée par le tri halogénure d’antimoine SbX3 qui se forme de la manière suivante :

  • 1ère étape: réaction entre le dérivé halogéné et le polymère

R – X + P - H®  HX + R – P

  • 2ème étape: formation de l’oxyhalogènure SbOX qui est un composé non volatil, par action entre l’acide halogéné HX et le trioxyde d’antimoine

Sb2O3 + 2HX® 2 SbOX + H2O

  • 3ème étape: décomposition de l’oxyhalogènure pour donner le tri halogénure d’antimoine SbX3

5 SbOX ® Sb4O5X2 + SbX3

            Il y a par la suite évolution du système avec l’augmentation de la température suivant les réactions :

4 Sb4O5X2®5Sb3O4X + SbX3

3 SB3O4x® 4Sb2O3 + SbX3

            Parmi toutes les espèces formées, on se rend compte que seul le trihalogènure d’antimoine est volatil dans les conditions de température créées par la combustion. C’est donc ce composé qui va jouer le rôle d’agent inhibiteur par une action en phase gaz. Ce mécanisme est parfois critiqué, néanmoins, différents travaux vérifient sans ambiguïté le processus d’inhibition en phase gaz et en particulier le rôle fondamental du tri halogénure d’antimoine.

            La caractérisation de la composition des gaz de combustion des différents systèmes : polyéthylène-trioxyde d’antimoine, polyéthylène décabromodiphényl éther et polyéhylène décabromodiphényl éther trioxyde d’antimoine, montre que seul le système ternaire perturbe la phase gaz. En particulier, la quantité de dioxyde de carbone est fortement diminuée au bénéfice du monoxyde de carbone. On a donc une illustration d’une inhibition par abaissement de température de flamme puisque la transformation très exothermique du monoxyde en dioxyde de carbone n’a pas lieu. Ce résultat est par ailleurs confirmé par l’analyse des résidus de la phase condensée, seul en effet le mélange ternaire conduit à une diminution importante du taux d’antimoine et de brome dans la phase condensée. Cela permet de vérifier et de confirmer le rôle essentiel du tri halogénure d’antimoine dans ce mécanisme.

 Conclusion

Les processus d’ignifugation en phase gaz par inhibition radicalaire, utilisent le plus souvent les dérivés halogénés et en particulier les dérivés bromés. La variété des additifs bromés utilisables est très grande, et le choix devra être adapté au polymère. L’objectif est de synthétiser des molécules pouvant inclure un maximum d’halogènes.

En résumé, il apparaît que les procédés qui passent par l’intermédiaire d’un mécanisme radicalaire en phase gazeuse présentent une efficacité certaine. Cependant, certaines de leurs modalités d’utilisation doivent continuer à être optimisées afin de répondre à l’évolution des exigences environnementales en terme de limitation d’impact sur l’environnement

 

 

Podcast du webinaire CREPIM - LRCPP du mardi 30 novembre 2021 

Ce webinaire a suscité beaucoup d'intérêt et nous vous proposons de le retrouver en podcast afin d'approfondir votre reflexion.

CREPIM: Material & Fire Test Expert

CREPIM-India

CREPIM - Material & Fire Test Expert - come back to India, after the Covid pandemia .

▶The journey is scheduled in May and feel free to contact us for arranging a RV.

▶Topics
EN45545-1, 2 & 3 #fire-testing
Development of FR resins and systems
Training

CREPIM: Material & Fire test Expert

Feux de batteries : futur cauchemar des pompiers

A noter qu'il est surprenant que les normes existantes dédiées aux essais abusifs sur batteries se focalisent pour l'instant sur la propagation de flamme uniquement, sans prendre en compte l'opacité et la toxicité des effluents gazeux, qu'il y ait ou non inflammation de ces derniers durant le Thermal Run Away.

Source : https://korii.slate.fr/tech/voitures-electriques-futur-cauchemar-pompiers-incendies-batteries-lithium-ion

Les voitures électriques, futur cauchemar des pompiers

Les pompiers éteignent une voiture en flamme après le passage d’une manifestation des gilets jaunes, le 1er décembre 2018, à Paris. | Abdulmonam Eassa / AFP

Discover on line our pole of expertise dedicated to batteries fires and abusif tests

Abusive fire tests for E-mobility & Li batteries

CREPIM has been developing since 2017 a pole of excellence dedicated to Reaction to fire of lithium-ion batteries. This pole gathers a complete array of expertises focused on abusive tests, leading to potential fire occurrence. Our strategy consists of to be present on the market with to 2 levels of services.

Thermal run away on LiB module

 

Bruxelles: une voiture électrique provoque un important incendie dans un parking

Le referentiel R100 dédié aux ve ne prend en compte pour l'instant que la résistance au feu externe. Les défauts internes conduisant à l'embrasement ne sont pas encore suffisamment pris en compte.
 
Une vrai problématique à prendre en compte pour les différents services gestionnaires et les services de secours.
 

CREPIM, l'UMET (CNRS/ULILLE), Materia Nova,  et Centexbel-VKC agissent ensemble pour une véritable valorisation des #plastiques Déchets d'Equipements Electriques et Electroniques (#DEEE) et la sensibilisation des acteurs du #recyclage.


CREPIM , UMET (CNRS/ULILLE), Materia Nova, and Centexbel-VKC are working together to promote the recovery of #plastics from Waste Electrical and Electronic Equipment (#WEEE) and to raise the awareness of those involved in #recycling.

 

CREPIM: Material  &Fire Test Expert: The laboratory benefits from all the accreditations, certifications, approvals, and recognition to secure our deliverables :

-COFRAC testing accreditation (Accreditation 1-5860, scope downloadable from www.cofrac.fr)

-CERTIFER recognition for the rail market,

-Recognition from the National Vehicle Reception Center (CNRV),

-IMO recognition for the maritime market,

-FAA and SWS recognition for the aeronautical market,

-The approval of the Ministry of the Interior for the emission of fire reaction reports (Classification M, NF EN 13-501, AM 18),

-European notification (CREPIM = NB 2137) for fire reaction tests related to CE marking of construction products (RPC),

-European notification (CREPIM = NB 2137) for fire resistance tests related to CE marking of construction products (RPC),

-Qualiopi certification for our training actions,

-Approval for Research Tax Credit for our development actions,

-Non exhaustive list...CREPIM: Material & Fire Test Expert